" AUCUNE REPONSE ! " : NOTRE REPONSE !!

" Aucune réponse ! " : Notre réponse !!

En 2008, après avoir refusé d’intégrer notre équipe, Monsieur Nourrissat a constitué une liste pour les élections municipales. Les Vendeuvrois ont tranché. Nous avons été élus avec 65% des suffrages.

Le 19 septembre 2013, Monsieur Nourrissat a annoncé, dans la presse, sa candidature aux municipales de 2014. Euphorique il était ! Il venait de réussir un coup de maître : attirer dans ses filets une dame fort honorable, jolie de surcroît, qui allait être auprès de lui, la figure de proue de sa liste. Malheureusement, elle démissionna très tôt pour des raisons personnelles et professionnelles. Dans le même temps, il apprenait que Jean-Baptiste Rota conduirait la liste de la municipalité sortante. En plus, s’y étaient ralliées plusieurs personnes ciblées par Monsieur Nourrissat mais qui lui avaient signifié leur refus. Bref, de quoi avoir soudain quelques insomnies… La campagne s’annonçait plus difficile que prévu, son plan de carrière était compromis…

Le 18 octobre, initiative malheureusement tardive et surtout très intéressée, il a envoyé à quelques conseillers municipaux un courrier rédigé en ces termes : « Je serai le N°2 derrière Jean-Baptiste Rota ». Il fallait sauver les meubles sans omettre de se positionner : « Faisons une liste commune », ce qui signifiait renvoyer dans leurs foyers bon nombre de ses colistiers lui ayant donné leur approbation et leur confiance. Étaient-ils au moins au courant que leur leader comptait sacrifier une bonne dizaine d’entre eux ? De notre côté, la liste était déjà prête. Monsieur voulait s’imposer comme Numéro deux mais nous ne comprenons toujours pas pourquoi il aurait soi-disant accepté de se ranger derrière un homme dont il critique l’âge et qui, à le lire, n’aurait pas d’idées, pas de projets mais seulement « un bilan à défendre ». Aurait-il aimé être N° 2 en espérant ainsi pouvoir, à la moindre occasion, être « calife à la place du calife » ?

En novembre, dans son premier tract sur papier glacé, Monsieur Nourrissat a publié un graphique volontairement déformé visuellement et l’a accompagné de données qu’il interprète à sa convenance. Or cette interprétation ne reflète pas la réalité. Par exemple : un jeune de 15 ans et un senior de 64 ans ne peuvent pas être comptabilisés parmi les demandeurs d’emploi même si l’Insee les recense parmi les « inactifs ».

Il nous accuse d’avoir entretenu des rancœurs ? Quelles rancœurs ? Élus avec 65% des voix, nous n’avions aucune raison d’en nourrir. En revanche, fier ou déçu de ses 35% de votes favorables, lui, a engagé après les élections municipales de 2008 pas moins de quatre recours au Tribunal administratif. Il les a tous perdus. En 2014, avant même le scrutin, il a engagé une procédure au tribunal d’instance contre 14 Vendeuvrois pour les faire radier de la liste électorale… Qui, sinon lui, entretient des rancœurs ? Qui, depuis 2008, souffle sur les braises de la division ? Est-ce un programme électoral que de critiquer un maire qui ne se représente pas ?

À la mi-janvier, dans un deuxième tract, il se pose en victime pour se donner le beau rôle ! Vous, Monsieur Nourrissat, qui êtes sans cesse en quête de notoriété et de reconnaissance, sachez que celles-ci ne se décrètent pas, elles se méritent !

À force d’entretenir la division, il a même vu quelques-uns de ceux qui avaient cru en lui et lui avaient tendu la main, prendre désormais leurs distances.

Nous, notre liste est constituée d’une véritable équipe soucieuse avant tout de l’avenir de Vendeuvre, loin de toutes ambitions personnelles. Jugez-en par la photo où l’individualisme n’a pas cours.

Si d’aventure, Monsieur Nourrissat accédait à cette fonction, quel maire serait-il ? Il ne suffit pas d’une expérience, aussi honorable soit-elle, dans la finance internationale - source de bien des maux ! - pour diriger et développer une commune comme Vendeuvre. Il ne suffit pas de présider telle ou telle association pour être à l’écoute des Vendeuvrois, comprendre leurs préoccupations et y apporter des solutions. Il faut une vision d’avenir, une expérience concrète de la vie communale, une connaissance profonde de ses concitoyens, l’art de se mouvoir dans l’environnement administratif, etc. Tout cela, Monsieur Nourrissat aurait pu l’acquérir il y a six ans, en acceptant de nous rejoindre. Il ne l’a pas voulu.

Pour notre part, nous préférons préparer l’avenir dans la sérénité en présentant un programme cohérent et réalisable.

La liste "L'expérience pour l'avenir de tous"